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11 juin 2014 3 11 /06 /juin /2014 12:31

par Nathalie Pelte

Et bien, il est vrai que nous arrivons fin mai, et que cette année encore, nous n’avons pas vu le temps passé, tant et tellement que les projets fusent déjà pour la rentrée prochaine. Mais pour cela, on est à la recherche d’un ou d’une bénévole qui pourrait co-animer les séances…. Car à deux, c’est bien plus facile d’organiser, de planifier, de canaliser toutes les belles énergies du groupe. Vous avez de la bonne volonté, de la bonne humeur et un peu de disponibilité ? Alors vous êtes le ou la parfait(e) candidat(e) ! Pour ceux, celles qui sont intéressé(e)s, ils, elles peuvent venir le mercredi après-midi, au 19 rue des Ardennes, pour participer aux dernières séances et y prendre « la température ».

Voici le programme du mois de juin :
-         mercredi 4 juin : La traversée des passages « avec Balzac » (prévoir 5€ car c’est une sortie avec une conférencière- le rendez-vous est à 13 h 30 devant les colonnes de BUREN au JARDIN du PALAIS ROYAL - métro Palais Royal)
-         mercredi 11 juin : Institut des cultures de l’islam  - Expo : La Syrie ( le rendez-vous est à 14h au 56 rue Stéphenson Paris 18)
-         mercredi 18 juin : Françoise K. nous propose « une discussion » autour d’une lecture de son choix, à 14h30 au 19 rue des Ardennes.
-         mercredi 25 juin, pour finir « en beauté » : Marithé nous propose de découvrir le musicien Gioachino Rossini, à 14h30 au 19 rue des Ardennes.

N’hésitez pas à venir échanger avec nous, et pourquoi pas, vous lancer avec Dominique en septembre prochain, dans la co-animation… Vous serez épaulé par tout un groupe qui ne demande qu’un « 2eme coach » pour continuer la belle aventure des échanges de savoirs.

Ne soyez pas inquiet(e), c’est un groupe autonome, qui organise son programme en fonction des savoirs des uns et des autres, des intervenants amis ou de contact divers que chacun peut avoir, et surtout en fonction des envies de tous. Dominique et moi-même serions heureuses de vous faire découvrir notre fonctionnement. Je vous dis à très bientôt et prenez vite contact avec NOUS, ne serait ce que pour participer....
Nathalie Pelte, bénévole à Espace 19 Oucq

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 14:22

Par Dominique de Bruxelles


Le cours de peinture de Lise, le vendredi matin, nous procure depuis quelques années déjà,  de  belles  émotions et un réel émerveillement à la fin de chaque séance. Elle nous apporte ce qu’à d’autres la philosophie, la lecture, la prière, le yoga, les voyages, les randonnées, le chant apportent : une détente, une évasion, une liberté et un sentiment de satisfaction profonds
Ce qui est extraordinaire, en peinture, c’est que l’on a seulement devant soi de petites surfaces blanches à occuper d’une manière ou l’autre,  tout en cherchant à se faire le maximum de bien :  en manipulant les matières, les formes, en jouant du geste et du regard.
En clair, faire des images qui silencieusement nous apaisent.
Cette matinée du vendredi matin, rue Léon Giraud, a un tel rayonnement qu’elle devrait vous donner envie de passer nous voir, pour que vous retrouviez dans nos tableaux le bien qu’ils nous font !

 

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 14:05

par Séverine Gaudré, stagiaire DEJEPS

 

Après plusieurs mois de gestation, un nouvel Espace Livres est né à Cambrai !
Le projet de l’Espace Livres a pour objectif de sensibiliser les familles et les habitants du quartier au livre et à la lecture en favorisant des rencontres propices à la découverte du livre et en ouvrant cet espace aux partenaires du quartier et en les associant aux activités.
Les 8 et 9 avril derniers, nous avons donc fêté l’arrivée de l’Espace Livres en chansons, histoires et activités multiples.
Rencontres, échanges et découvertes livresques en tout genre étaient au rendez-vous !

Mardi 8 avril : quand les partenaires s’animent…pour le bonheur des petits et des grands !
15H… Les familles arrivent au centre pour l’inauguration de l’Espace Livres…Tout est prêt pour les accueillir… Un espace convivial et une ambiance chaleureuse avec tissus chamarrés, poufs et coussins douillets… Les comptines sonnent le début des festivités. Accompagnées par Yaël, lectrice de l’association LIRE à Paris et l’équipe des lutins de l’Espace, les familles découvrent ou redécouvrent, fredonnent chansons et berceuses.
Puis Catherine et Geneviève de la crèche Labois Rouillon nous font partager des histoires grâce à leur Butaï, un chevalet en bois servant de support à un style narratif original venu du Japon qu’on appelle le Kamishibaï. Les familles ont alors pu découvrir qu’il n’y a pas qu’une seule façon de lire ou de raconter puisque ce type de récit imbrique média imprimé (images) et spectacle vivant. Une drôle d’invention qui stimule imaginaire et échanges !
Nous redécouvrons, façon Kamishibaï, Mon papa d’Anthony Browne, l’histoire d’un papa extraordinaire vu par les yeux admiratifs de son petit garçon, un album devenu le best-seller des tout-petits comme des plus grands chez les Lutins comme ailleurs!
Coup de théâtre… Les doigts de fée de Joseph des Lutins ont encore frappé… Le Grand Monstre Vert est sorti de sa boîte avec son long nez bleu turquoise et ses cheveux violets ébouriffés sous nos yeux ébahis! BOUH ! S’ensuit alors le fabuleux numéro des duettistes Céline et Joseph qui animent à deux voix et à deux mains, pour notre plus grand plaisir, notre Grand Monstre Vert légendaire!
Enfin, Evelyne et Muriel de la bibliothèque Benjamin Rabier ont animé leurs tapis- lectures conçus à partir des albums Loup d'Olivier Douzou et Va t'en grand monstre vert !, d'Ed Emberley. Ces tapis magnifiques, réalisés en tissus, s'explorent et se découvrent en touchant, en jouant et en racontant. Enfants et adultes ont eu la possibilité de faire et de refaire l'histoire à leur rythme tout en se familiarisant avec une forme narrative qui encourage les échanges et les interactions. Petites frayeurs et rires fusent à l'apparition de la grosse tête verte du grand monstre ou de la gueule du loup!
Parents et enfants sont restés pour écouter encore quelques histoires, pousser la chansonnette et partager un goûter…Difficile de se dire « au revoir » quand on passe un bon moment !

Mercredi 9 avril : des activités livresques en tout genre !
Ce deuxième après-midi d'inauguration s'organisa en différents ateliers pour les familles : confection de livre,  illustration d’affiche pour l’Espace Livres, peinture de silhouettes et lectures à voix haute.
Les enfants ont pu confectionner eux-mêmes leur livre avec Ji-Young Yim, illustratrice de livres pour enfants de la maison d’édition Lire c’est partir, installée dans la cité rose rue curial.
A partir de feuilles de couleurs, de plumes, paillettes, gommettes et de quelques coups de crayon… nait un livre qui repart à la maison !
Betty, animatrice au centre de loisirs Colette Magny, a réalisé une affiche pour l'Espace Livres avec les enfants et Guillaume, stagiaire BPJEPS à Cambrai, a montré aux parents et aux enfants comment donner vie à des silhouettes de papier grâce à un coup de pinceau et un peu de gouache.
Ce fut aussi l'occasion de découvrir en avant-première la dernière-née de Riquet, la boîte à histoire du Petit Chaperon Rouge. Fatima et Habiba, les créatrices, se sont appuyées pour la réaliser, sur un conte bien connu des familles, celui du Petit Chaperon Rouge. Elles ont imaginé un décor, des personnages et accessoires non figuratifs,  pour faire vivre l’histoire. Les enfants ont eu la possibilité de toucher à la fin de l’histoire les différents éléments, créant échanges et interactions, chacun a pu ainsi participer et vivre l'histoire à sa façon ! Fatima et Habiba ont raconté l’histoire en arabe puis en français : interculturalité et succès garantis !
Et pour finir, Marie-Françoise et Françoise, bénévoles de l'Espace Livres, nous ont enlivrées avec leurs histoires à deux voix. Les enfants, pendus à leurs lèvres, ont écouté avec bonheur les voix chantantes de nos deux animatrices préférées !

Lire les images, lire les mots, lire ensemble… Les émotions que suscitent les histoires nous montrent bien qu’il n’y a pas d’âge pour y accéder et trouver du plaisir. Les livres rassemblent et relient... Et les temps forts de l'inauguration nous le prouvent bien! Transversalité, échanges interculturels, intergénérationnels… Quels beaux moments !
Longue vie à l'Espace Livres ! Et à bientôt pour une autre histoire, qui sait… ?!

 

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 12:11

par Caroline Kiaya

La médiation socioculturelle qu’est-ce que c’est ? Voilà l’objet du P’tit dej Papotipapota du mercredi 2 avril au Centre social Espace Riquet. Plutôt que faire découvrir cette fonction à travers un discours et une présentation power point, les médiatrices d’Espace 19 et leur responsable ont choisi de présenter quatre saynètes toutes inspirées de situations réelles. Elles ont mis à contribution deux salariés d’Espace 19 Riquet (Djouhoudi et Carole) et deux adhérents (Mamé et Mme Wang) pour être comédien-nes avec elles. Quelle réussite !
Environ 25 personnes étaient présentes, une majorité d’habitants et quelques professionnels.
La médiation socioculturelle à Espace 19 est assurée par une équipe de 5 médiatrices qui interviennent dans différentes langues parlées en Chine, au Cambodge, au Sri Lanka, en Inde et en Afrique, elles interviennent aussi en français et en anglais.
Leur mission est de favoriser la communication entre les institutions et les usagers notamment les personnes issues de l’immigration. Elles effectuent un décodage culturel afin d’éviter les incompréhensions linguistiques, culturelles ou liées aux représentations.
Elles facilitent l’accès aux droits par l’information, l’accompagnement dans les démarches administratives et si nécessaire l’orientation des usagers vers d’autres professionnels.
Les problématiques traitées sont diverses : santé, juridique, scolaire, logement, emploi, administratif. De plus, les médiatrices accompagnent les femmes victimes de violences.
Pour mener à bien ces missions, elles interviennent dans plusieurs lieux : Espace 19 (centre sociaux et également au 22 bis rue de Tanger), centres de Protection Maternelle et Infantile (PMI), centres médicaux, hôpitaux, établissements scolaires, foyers….

Parmi les quatre saynètes présentées, deux se passaient dans un centre social d’Espace 19 : l’une concernait une demande de titre de séjours, l’autre concernait une demande d’Aide Médicale d’Etat. La troisième saynète se déroulait dans une école élémentaire et la dernière dans un centre de PMI.
Ces mises en situation ont mis en lumière la manière dont les médiatrices interviennent : elles ont toujours une approche globale prenant en compte l’environnement de la personne (famille, logement, niveau de connaissance du pays d’accueil…). Elles reformulent la demande de l’usager, elles n’hésitent pas à poser toutes les questions nécessaires afin que l’usager bénéficie pleinement de ses droits. Elles l’accompagnent souvent sur plusieurs entretiens, par leur connaissance fine des dispositifs sociaux et du réseau d’acteurs locaux associatifs et institutionnels. Si nécessaire, elles orientent vers d’autres professionnels (juristes, assistantes sociales, psychologues,…).

Arrêtons-nous le temps de quelques lignes sur la saynète relatant la médiation scolaire. Face à un enfant chinois de CE2 ne parlant pas et se basant sur un certificat médical ancien, la directrice d’une école est persuadée que l’enfant a un gros retard de langage et doit être envoyé dans une école pour enfant handicapé. Puis, grâce à l’intervention d’une médiatrice chinoise, elle comprend que l’enfant a tout simplement du mal à s’exprimer en français mais a bien toutes ses capacités mentales comme n’importe quel enfant de son âge. Le rôle de la médiatrice, grâce au décodage culturel, va bien au-delà de l’interprétariat. Dans ce cas précis, elle aura évité à un enfant chinois d’aller dans une école pour enfant handicapé.
Les médiatrices ont aussi pour mission d’informer les professionnels sur l’environnement et la culture d’origine de la personne afin que leurs messages et leurs décisions soient plus adaptés à chaque situation et mieux compris par les usagers. C’est ainsi que récemment l’équipe d’une PMI du 19eme a fait intervenir les médiatrices lors de leur journée pédagogique sur les traditions chinoises, tamoul et africaines pendant la grossesse et après la naissance du bébé.

Un grand merci aux médiatrices, à Mme Wang, à Carole Eudo, à Djouhoudi Mahamdou et à Mamé pour leur talent d’acteurs ce 2 avril !!!

Si vous ou vos proches ont besoin d’un renseignement ou bien d’un accompagnement par une médiatrice, merci de vous adresser à l’accueil d’un centre social d’Espace 19. 

 

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 12:04

par Carole Eudo

Et oui!!!! Malgré les normes en vigueur dans le commerce, de nombreux objets qui nous entourent sont sources de pollution pour nous et nos enfants (plus fragiles) ...

Mercredi 5 Mars 201 rendez vous était pris avec Valérie Domeneghetty - Référente WECF* IdF - Consultante en santé environnementale pour un échange avec les parents sur les moyens de protéger la santé des enfants en créant un environnement intérieur sain.

Sa démarche est très intéressante car loin des discours culpabilisants, l’intervenante met en œuvre une méthode permettant de sensibiliser les personnes en les rendant acteurs...
Autour d’ateliers ludiques, les participants ont pu s’exprimer sur leur environnement, sur leur perception des objets du quotidien et construire leur propre conception d’un environnement sain.
 
On commence…
Des objets du quotidien disposés sur une table : biberons, jouets, produits d’entretien, cosmétiques, parfum, savon, gel douche shampoings, papier d’aluminium, déodorant, couches… A nous de faire le tri et de regrouper les objets qui nous semblent « à risque » pour notre santé et à plus forte raison, pour celle de notre enfant, ceux qui ne le sont pas et ceux pour lesquels  on ne sait pas vraiment…
C’est parti…

Pour certains objets, c’est une évidence : paquet de cigarettes, coloration pour cheveux, eau de javel, produits d’entretien corrosifs… Et puis il y a les autres…
Ces produits vendus sous des emballages aux couleurs vertes évoquant du bio ou la nature, censés détruire les bactéries et les odeurs dans notre environnement… Les couches de nos chers bambins, qui sont « hyper absorbantes » et garantissent un « enfant au sec toute la journée » et qui pourtant cachent des effets nocifs….

Et c’est à travers des débats, des questions, que nous découvrons peu à peu comment observer les objets du quotidien avec un autre regard… Et oui, avant nous n’aurions jamais pu deviner seuls, ce qui est un danger mais maintenant que nous savons, nous aurons les moyens de lutter et protéger nos enfants « des perturbateurs endocriniens » notamment.

Un exemple : oui les biberons sans bisphénol sont mieux que les autres… Mais par quoi les fabricants ont-ils remplacé le bisphénol ? Par une autre substance potentiellement dangereuse mais pas encore interdite ? Et de toute façon, le plastique se transforme et devient perméable sous la chaleur… Il laisse passer des substances dans les liquides … Alors appliquons le principe de précaution : le moment venu remplaçons les vieux biberons en plastique par des biberons en verre !  Ca sera, par la même occasion, un geste de plus pour protéger la planète…

Un autre exemple : le lait infantile premier âge destiné aux tout petits, dont le cerveau est en plein développement… que contient-il bien souvent ? De l’aluminium !!! Qui, en étant ingurgité régulièrement, peut avoir un impact sur le développement du cerveau !

Bref, les questions étaient multiples et c’est entre le partage d’expérience et les questionnements que nous avançons dans la réflexion… Quels sont les bonnes questions à se poser ? Comment peut-on mieux choisir et utiliser ce que nous achetons ? Quelles précautions prendre si nous utilisons certains produits ?

Bien sûr on se dit : «  j’ai vraiment raté quelque chose depuis tout ce temps » mais une fois ce constat fait, Valérie nous donne les clefs pour ne surtout pas culpabiliser et nous permettre de modifier nos comportements ….

Le rendez-vous est pris, pour approfondir le sujet en petits ateliers thématiques, comme la chambre de bébés par exemple. Nous essayerons de faire que « notre maison participe au maintien de notre bonne santé »

*WECF est un réseau de 150 organisations féminines environnementales qui met en œuvre des projets à l’échelle locale et plaide pour des politiques de développement soutenable à l’échelle globale. Avec de tous petits gestes, de petites attentions et de bons réflexes,  les facteurs de risques peuvent être diminués voir éliminés... Sans que ça ne coûte rien !

 

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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 11:46

par Omar Sy

Le samedi 29 mars 2014 à 11h15 le cinéma Le Louxor, 170 boulevard de Magenta, Espace 19, et l'équipe de la Cité Rose presque au complet ont proposé un ciné débat dans le cadre d’un projet sur le thème de" la famille et les ados"

Entre le réel plaisir des habitants de partager ce film dans un lieu comme le Louxor qu'ils ont découvert pour certain et pour d’autres le redécouvrir.

" Cela faisait 30 ans que je n'étais pas revenue. Je venais voir des films Égyptiens en VO à l'époque. C'est devenu un magnifique cinéma. Merci de l'avoir réouvert" Sofia, 65 ans

"Mais c'est un cinéma ici ou un musée maman ?" Youssef, 8 ans

"Incroyable comme c'est confortable !!! Ils ont mis des sièges de ministres j'avais plus envie de partir à la fin, j’avais envie de rester là toute la journée à voir des films." Oussama 13 ans

"C'est une œuvre d'art ce cinéma c'est vrai. Mais le plus important pour moi c'est l'accueil. Ce n'est pas qu'une simple billetterie ou tu fais la queue comme partout dans les autres cinémas, non. Les gens te saluent à l'entrée et à l'intérieur de la salle j'étais surprise : les gens se disent bonjour. Le cinéclub est aussi une bonne idée. Je reviendrais" Kadidja, 62 ans.

Cette action a permis d'échanger autour de difficultés rencontrées par les habitants dans les quartiers....
Cette action s’inscrit dans la continuité du visionnage du film "sur le chemin de l'école" en janvier.
Cette projection a permis à d'autres professionnels travaillant dans des centres sociaux ou associations Parisiennes invités pour l'occasion de partager avec Espace 19 des sujets communs qui nous tiennent à cœur.

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 17:14

par Carole Eudo

Et bien… Non, nous n’avons pas de financement pour faire profiter  nos tout-petits d’un éveil culturel ou musical…
Mais oui, avec de la solidarité et des initiatives on peut amorcer une démarche…
Rappelez-vous, l’année dernière c’est Valérie qui nous a fait découvrir le son de sa contrebasse, la semaine des vacances scolaires de février, vous avez pu voir (dans un précédent article)  que Makhlouf, intervenant sur un projet autour de la parentalité, était venu faire découvrir le son du Djembé et de la guitare aux enfants de la crèche…
Cette semaine, c’est Sonia, violoniste dans un orchestre de tango, qui a accepté  de venir nous rendre visite pour faire découvrir le son du violon…
Les enfants n’ont jamais été aussi sages et impressionnés !!! Difficile de les faire tenir en place avant son arrivée, mais dès que Sonia se met à jouer les yeux s’écarquillent… Plus un bruit, plus un mouvement…
Même si tous les enfants ont déjà entendu de la musique, écouté des chansons et entendu cet instrument dans les contes musicaux ; pour la très grande majorité ils découvrent l’instrument qui se cache derrière ce son…Et oui c’est bien une personne qui, en effectuant différents mouvements avec cet instrument, crée ce son…
Un énorme merci à Sonia qui nous a donné de son temps et est venue de Nanterre pour notre plus grand plaisir… (Tu reviens quand tu veux Sonia, tu es la bienvenue)
Alors maintenant nous lançons un appel : vous aimez jouer d’un instrument, vous avez ½ heure de disponibilité … Alors venez émerveiller les enfants d’espace 19 riquet… Et si vous êtes amateurs pas de souci, les enfants et l’équipe vous accueillerons à bras ouverts !!! Appelez-nous !!!

On sait tous faire quelque chose, on a tous un talent à faire partager !

 

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27 mars 2014 4 27 /03 /mars /2014 15:08

Par Fatima  Arrass  et Sandra Behejohn

Quand les familles d’Espace 19 se mettent à l’unisson…

Dans le cadre d’un projet Espace 19 sur la parentalité , deux stages musicaux  se sont déroulés durant le vacances scolaires. Le but des ces stages étaient que les parents et enfants passent un bon moment  ensemble  autour d’une activité artistique .
 De bon matin , rien de mieux que de s’exercer  aux sons des percussions pour se réchauffer d’une atmosphère hivernale ! Durant 4 matinées , les familles ont appris avec Makhlouf, notre intervenant musique, les bases de la percussion. Conclusion : tout le monde fut d’accord sur le fait qu’à tout âge on peut mettre de l’ambiance !
Puis dans l’après midi, les familles ont pu apprendre à fabriquer leur propres instruments de musique : Didgeridoo, , flûtes, maracas , bâtons de pluie… Parents et enfants ont su mettre en commun leur patience mais aussi leurs talents manuels afin de pouvoir constituer un véritable orchestre avec tous les membres de la famille.

En faisant un tour du côté de la Petite Enfance à Riquet…

Un matin parmi tant d’autres, nous voilà installé sur les tapis chez les débrouillards, aussi bien les bébés, les moyens, les grands et même les professionnels : tout le monde a répondu présent.
Quand, tout à coup, Makhlouf et Sandra arrivent dans la salle. Nous avons su que nous allions passer une matinée exceptionnelle. On s’est mis à faire des vocalises, comme c’est le rituel à Espace Riquet. Et voilà que notre musicien nous donne une première note avec sa guitare. Et c’est parti pour un moment musical, accompagné par des chansons dans les différentes langues, dans la joie et la bonne humeur qu’il a réussi à installer.
C’était un moment magique pour tout le monde.
Soudain, Makhlouf sort un Djembé de son étui, son rythme nous entraîne dans la danse. Les enfants se sont appropriés l’espace pour danser comme s’ils connaissaient Makhlouf depuis toujours : par sa disponibilité, son écoute, son professionnalisme, en quelques instants, il a installé une confiance entre lui et les enfants. Il a su répondre à leurs attentes . Des échanges aussi bien verbaux qu’émotionnels étaient présents.
Nous tenions à le remercier  d’avoir répondu à notre appel et lui rendre hommage par cet écrit. Nous avons passé  une matinée inoubliable. C’était un moment magique, merci de nous avoir fait rêver.

Pourquoi le chant et la musique sont présents dans les espaces de la Petite Enfance ?

La chanson et l’air que l’on fredonne sont  aussi indispensables que l’air que l’on respire, c’est un art qui nous accompagne toute au long de notre vie.
Nous pouvons transmette nos émotions, nos peurs, nos désirs par la chanson. On peut rassurer et calmer, faciliter la séparation entre les enfants et les parents. La chanson devient un outil de travail qui est nécessaire dans le développement de l’enfant. C’est aussi un apprentissage pour faciliter le langage et l’imagination.
On sait bien qu’il n’est pas nécessaire d’avoir une belle voix, ni des compétences musicales pour chanter….alors continuons à faire rêver les enfants !

 

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7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 12:22

Par Dominique de Bruxelles


Cela faisait un petit moment que je cherchais une exposition pour notre activité « Echange de savoirs » autour de la mode d’avant la guerre 14-18, et elle fut toute trouvée lorsque j’ai vu l’annonce de cette exposition ; « Roman d’une garde-robe, le chic d’une parisienne de la Belle Epoque aux années 30 » au Musée Carnavalet.
C’est une exposition qui raconte avec émotion le parcours d’une « couturière en robes » parisienne. Il s’agit, à travers la garde-robe exceptionnelle d’Alice Alleaume, qui fut d’abord vendeuse avant de devenir une cliente des plus grandes maisons, de dévoiler tout le milieu de la mode, auquel la famille d’Alice Alleaume fut étroitement liée dès le Second Empire. Cette garde-robe, couvre près d’un siècle, des années 1830 jusqu’aux années 1930. La majorité des pièces date du premier tiers du XXème siècle. Plusieurs d’entre elles ont été portées par la mère d’Alice, Adèle (1839 – 1909) et par sa sœur aînée, Hortense Dumas-Baudron (1867 – 1932).
On peut ainsi admirer 400 pièces exceptionnelles, des robes griffées Chéruit, Worth et Lanvin, des chaussures du soir d’Hellstern, des chapeaux d’Alphonsine, Marcelle Demay, Madeleine Panizon, Le Monnier, des bandeaux du soir de Rose Descat, des bijoux, certaines de ces pièces défiant le temps et la mode au point qu’on pourrait encore les porter aujourd’hui, mais aussi manuscrits et documents, carnets de vente et listes de clientes, peintures et estampes du musée Carnavalet qui évoquent Paris, avant la guerre.
Cette exposition, très bien faite, est un régal pour les yeux et pour l’esprit : à travers la vie d’Alice, c’est toute une époque qui ressuscite sous nos yeux, une époque fascinante !.

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 16:10

par Joseph Kosmann


Vive la transversalité !! Quand nous avons vu débarquer mercredi 19 février la bande de riquet à
l’atelier parent enfant d’espace cambrai nous savions que nous aurions droit à une après midi du
tonnerre !!! Après un petit temps chanson de rigueur et une présentation du futur coin livre dans
l’ex bureau de Sophiane, j’ai enchaîné par la boîte à histoire de Jennifer stagiaire de choc reparti
vers de nouvelles aventures « Loup loup y es –tu ? ». Séverine ancienne lectrice de LIRE à Paris et
stagiaire à espace Cambrai nous à lu son livre préféré « Va t’en grand monstre vert ». Puis Fatima
et Habiba nous ont conté en arabe et en français la boite à histoire des 7 petits chevreaux. Oreilles
tendues, yeux écarquillés, concert d’applaudissement, succès mérité.

Mais cher lecteur de ce blog formidable savez vous ce qu’est une boite à histoire et quel est son
intérêt?

La littérature de jeunesse mobilise et enrichit l’imaginaire enfantin – cette capacité à produire des
images mentales – de deux manières : par la forme (le récit) et par l’univers créé (la fiction).
Les boîtes à histoires vont permettre d’envisager la littérature dans ses rapports multiples avec les
enfants auditeurs non lecteurs (pour les plus jeunes) mais cependant récepteurs à part entière. Le
texte littéraire comporte une pluralité de sens compatibles, et les lecteurs peuvent en avoir une
interprétation différente, mais pourtant juste. Il convient de se préoccuper du rapport à l’œuvre de
l’enfant, en un mot de sa réception de l’œuvre. Raconter une histoire n’est pas un exercice toujours
facile qui nécessite de s’être approprié le texte, d’en avoir assimilé la chronologie et les différents
effets. Il suppose une mise en mots fluide. La compréhension est d’abord soutenue par des apports
extérieurs au texte. Il peut s’agir de marionnettes ou d’accessoires, comme des objets qui sont
évoqués dans le récit « Loup loup y est tu ? ». On peut aussi montrer les illustrations des albums
en prenant soin d’en choisir avec un texte qui se suffit à lui-même. « Va t’en grand monstre vert ».
Le plus apporté par la boîte à histoire de Riquet c’est la dimension interculturelle il n’y a pas de
texte mais plusieurs langues pas de marionnettes mais des éléments non figuratif ce qui stimule
encore plus les capacités d’abstractions des enfants.
Rendez-vous le 19 mars pour participer à la déco en attendant l’ouverture du coin livre d’espace 19
Cambrai.

 

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